C’est Lundi 13 Mai, cette semaine j’ai vu …

L’Écume des jours

ecume des jours

Synopsis :

« L’histoire surréelle et poétique d’un jeune homme idéaliste et inventif, Colin, qui rencontre Chloé, une jeune femme semblant être l’incarnation d’un blues de Duke Ellington. Leur mariage idyllique tourne à l’amertume quand Chloé tombe malade d’un nénuphar qui grandit dans son poumon. Pour payer ses soins, dans un Paris fantasmatique, Colin doit travailler dans des conditions de plus en plus absurdes, pendant qu’autour d’eux leur appartement se dégrade et que leur groupe d’amis, dont le talentueux Nicolas, et Chick, fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, se délite. »

★✩✩✩✩ Perdue

C’était un défi que d’adapter ce roman de Boris Vian. D’habitude adepte des films de Gondry (Eternal Sunshine of The Spotless Mind est l’un de mes films préférés), ici je n’ai pas su rentrer dans le film.
J’appréhendais d’aller voir ce film car je n’avais pas été conquise par le roman il y a quelques années.
A peine 10 min de film et je savais que je n’allais pas aimer. Trop d’animations, les émotions ne passent pas.  Je n’arrive pas à sortir Damien Duris des films de Klapish, Gad Elmaleh de son coté comique. Malheureusement, je me suis ennuyée.
Je pense qu’on aime ou pas ce film, il n’y a pas d’entre deux possible. Pour moi, ça sera non.


Oblivion

Oblivion

Synopsis :

« 2077 : Jack Harper, en station sur la planète Terre dont toute la population a été évacuée, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones. Suite à des décennies de guerre contre une force extra-terrestre terrifiante qui a ravagé la Terre, Jack fait partie d’une gigantesque opération d’extraction des dernières ressources nécessaires à la survie des siens. Sa mission touche à sa fin. Dans à peine deux semaines, il rejoindra le reste des survivants dans une colonie spatiale à des milliers de kilomètres de cette planète dévastée qu’il considère néanmoins comme son chez-lui.

Vivant et patrouillant à très haute altitude de ce qu’il reste de la Terre, la vie « céleste » de Jack est bouleversée quand il assiste au crash d’un vaisseau spatial et décide de porter secours à la belle inconnue qu’il renferme. Ressentant pour Jack une attirance et une affinité qui défient toute logique, Julia déclenche par sa présence une suite d’événements qui pousse Jack à remettre en question tout ce qu’il croyait savoir.

Ce qu’il pensait être la réalité vole en éclats quand il est confronté à certains éléments de son passé qui avaient été effacés de sa mémoire. Se découvrant une nouvelle mission, Jack est poussé à une forme d’héroïsme dont il ne se serait jamais cru capable. Le sort de l’humanité est entre les mains d’un homme qui croyait que le seul monde qu’il a connu allait bientôt être perdu à tout jamais. »

★★✩✩✩ Pas convaincue. 

Plutôt fan de science fiction, je n’ai pas été convaincue par Oblivion. J’ai tout d’abord du aller le voir en VF car il ne passait pas en VO près de chez moi, ce qui rajoute toujours à l’inconfort.

Je n’ai pas passé particulièrement un bon moment à regarder Oblivion, il se laisse voir mais sans plus. J’ai l’impression qu’aujourd’hui les films de SF reprennent un mélange de choses déjà créées. Je ai compris l’enjeux dans lequel les personnages étaient entraînés qu’après la moitié du film, et même à la fin trop de questions sont encore un suspense  Une histoire d’amour (stérile) plutôt que de la véritable SF. L’on devine beaucoup trop quelle tournure les événements vont prendre.

Cependant, belle réalisation, les effets spéciaux  plutôt réussis. Idée originale.


The Grandmaster

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Synopsis :

« Chine, 1936. Ip Man, maître légendaire de Wing Chun (un des divers styles de kung-fu) et futur mentor de Bruce Lee, mène une vie prospère à Foshan où il partage son temps entre sa famille et les arts-martiaux. C’est à ce moment que le Grand maître Baosen, à la tête de l’Ordre des Arts Martiaux Chinois, cherche son successeur. Pour sa cérémonie d’adieux, il se rend à Foshan, avec sa fille Gong Er, elle-même maître du style Ba Gua et la seule à connaître la figure mortelle des 64 mains. Lors de cette cérémonie, Ip Man affronte les grand maîtres du Sud et fait alors la connaissance de Gong Er en qui il trouve son égal. Très vite l’admiration laisse place au désir et dévoile une histoire d’amour impossible. Peu de temps après, le Grand maître Baosen est assassiné par l’un de ses disciples, puis, entre 1937 et 1945, l’occupation japonaise plonge le pays dans le chaos. Divisions et complots naissent alors au sein des différentes écoles d’arts martiaux, poussant Ip Man et Gong Er à prendre des décisions qui changeront leur vie à jamais… »

★★★★✩ Splendide

Un très bon moment à regarder ce film. Ce n’est pas tant pour l’histoire d’Ip Man et de Gong Er que j’ai aimé ce film (même si cela y fait beaucoup). J’ai été envoûtée par l’esthétique des images, sublimes. Zhang Ziyi joue magnifiquement bien. J’ai apprécié en apprendre plus sur l’histoire du kung-fu et sur l’histoire de la Chine.

Si je ne mets que 4 étoiles à ce film c’est parce que j’aurais aimé qu’il  y ait plus de combats. Particulièrement car j’ai aimé la façon dont les combats étaient filmés. Le fait que les acteurs combattent sous l’eau ou dans la neige aide à l’esthétique.

Un très bon moment.